[LB] [RV] Comme fait pour elle |
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Rappel du premier message : Lieu précis : Le paisible Date : 23 septembre 2018 Heure : 08h52 Mise en situation : Lana viens de s'installer dans l'appartement au dessus du restaurant et décide d'aller y prendre son diner. URL du RP : https://la-voix-des-dolorey.forumsrpg.com/t83-comme-fait-pour-elle-lb-rv#224 Statut : Libre Tours : Réservé Titre du RP : Comme fait pour elle |
Auteur | Message | |||
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Comme fait pour elle
J’ai répondu mais elle a l’air de ne pas avoir compris et continue toujours sur le même refrain et les mêmes répliques : | ||||
« Ma princesse, » Ta princesse ? Je vais te faire ravaler tes mots. Je suis la princesse de Sainte Rosalie. Tu n’as pas tes clés, tu n’es pas ici. En plus, tu ne sera jamais une véritable habitante de Sainte Rosalie comme Nora ou moi. Tu seras toujours une étrangère, comme Charlotte. « Je suis venue vers vous parce que je suis bien moins perdue que vous le dite. » Ah oui ? Qu’est-ce qu’elle essaie de dire ? Qu’elle sait exactement à qui elle fait face ? Qu’elle est venue pour son vendre ? Elle est en train de laisser entendre qu’elle est venue se vendre ? « Il est vrai que je ne connais pas toutes les uses et coutumes de cette charmante ville mais, il paraît qu’il faut sauter à l’eau pour apprendre à nager. » C’est une blague ? Elle veut que je m’énerve, c’est ça ? Je sais que je ne fais qu’amplifier la peur de Nora, mais je n’ai pas le choix. Il faut que je riposte. « Je suis, en revanche, affligée de constater que ma venue vous intimide tant que vous en oubliez vos politesses de dame. » De quoi elle parle ? « Vous ne m’avez pas présenter vos amies. » Je lâche un gloussement un peu trop froid. « Je ne sais pas comment les choses se déroulent en Italie, mais ici, les gens sont responsables de leurs propres présentations. Excepté, bien-sûre, s’il s’agit d’un enfant trop jeune pour se présenter lui-même. Or, ni ma tante, ni mon amie, ne sont dans ce cas. » Elle a encore souri à Charlotte. Elle le fait vraiment exprès ! Attendez. Elle regarde vers Nora, bizarrement. Elle sent le froid. Nora va paniquer… elle ne doit pas savoir que ça vient d’elle… comment convaincre discrètement Charlotte de faire semblant ? Aura-t-elle la présence d’esprit de simuler ? Ça doit être connu, chez les familles Eminentes, que je suis humaine. Soudain, la porte s’ouvre. D’instinct, je regarde vers cette dernière. Ça ne peut pas être Edward... Ça ne peut pas être Edward… Ce n’est pas Edward. C’est… une femme… Elle est… magnifique… Et avec elle… « Jeremiah ! » Je me lève d’un bond pour attirer son attention à cette table. Si Edward n’a pas envoyé Sacha, c’est Jeremiah qu’il a envoyé. En plus, il ne me semble pas qu’il soit attiré par les femmes. Quoi que celle-ci soit particulièrement… Comme Fait Pour Elle | ||||
Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7272 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Comme fait pour elle Tintallë est entrée si vite qu’elle a failli ne pas remarquer la présence de la table de la princesse qui a déployer son regard vigilant vers elle. Comme d’habitude, il se radoucie significativement au contact du pouvoir de notre danseuse préférée. Mademoiselle Thalos sourit gracieusement à sa princesse et bifurque vers le bar ce qui laisse apercevoir son camarade à lunette, juste derrière elle. D’un bond, la jeune D’Hombre s’acclame soudain : « Jeremiah ! » Comme si ça présence aux cotés de Tal’ était une délivrance. Celle-ci ne s’attarde pas sur Helena et ses bonds et se dirige tout droit vers le bar où, déjà, elle aperçoit la petite Kate. En arrivant à hauteur du bar La charmeuse lui adresse un signe de la main et attends que la dragueuse s’adresse à elle pour lui adresser sa commande. « Deux cafés et deux croissant ma belle. Et surtout, comme d’habitude, pour moi, en plus, une petite part de votre meilleure pâtisserie du jour. » Aguicheuses, les deux jeunes femmes s’échange un regarde charmeur et charmé. Se penchant sur le comptoir, notre aguicheuse de choc s’adresse, charmeuse à son amie : « Et dis-moi, tu aurais des infos croustillante pour moi aujourd’hui ? » Commande prise et infos demandé Tintallë se redresse et cherche du regard ce que fondent Jeremiah et Helena. C’est là qu’elle s’aperçoit qu’il y a une inconnue à la table de révision du dimanche. Mais, elle n’est pas assise… C’est étrange. Tal reste là, observe et attends qu’il se passe quelque chose ou que Kate lui signale la fin de la préparation de sa commande. 269 mots pour Lana | |||
BIJOUTIER Jeremiah Je suis sensé aider Edward… je crois. Comme Fait Pour Elle Rah ! Pourquoi il a fallu que je m’occupe de ça ? C’est pas mon genre d’affaire. Tintallë se tourne vers le bar et part la première. Au même moment, la princesse m’aperçoit. Elle a l’air plus grande que la dernière fois que je l’ai vu… c’est un truc d’ado, ça, de pousser comme des champignons. Pauvre Edward : à toujours passer par Sacha ou moi, il doit être perdu avec elle. Pourtant, elle a vraiment pas l’air difficile, quand on la connaît un peu. Il y a juste à voir comme elle bondit comme une enfant. « Jeremiah ! » Comment ne pas la trouver adorable ? Elle doit tenir de son père… ouaip… « Helena ! » Lui rendant un sourire exagérément grand, je m’approche un peu d’eux en ouvrant les bras. Le câlin de retrouvaille, c’est notre rituel. Si elle ne saute pas dans mes bras, c’est qu’il se passe un truc grave. En fait, c’est pire… si elle ne saute pas dans mes bras, c’est que j’ai fait un truc grave, et qu’elle va demander à Sacha de me tuer. Evidemment, Sacha demandera à Jeremiah de me tuer. Et, toute aussi évidemment, Edward demandera à Damien. Bref. Faire les choses sois-même, c’est pas très populaire dans le gratin de Sainte Rosalie. | ||||
« Helena ! » Mon regard se tourne naturellement vers la personne qui m’appelle, me libérant du charme de Tintallë. Je le connais depuis toujours, je crois. Il s’est toujours comporté à peu près de la même façon avec moi. Il s’est toujours comporté comme si j’étais un peu de sa famille. Enfin, comme si je n’étais pas une princesse à ne surtout pas froisser, tout du moins. Alors, comme d’habitude, il ouvre grand ses bras et s’approche lentement. J’ai donc deux possibilités : 1. Je lui saute dans les bras comme d’habitudes et profite d’une poignée de secondes de tranquillité où je suis Helena tout court. Le problème, c’est que ça diminuerait considérablement ma crédibilité. D’un autre côté, si mon adversaire me voit comme une enfant, elle ne se méfiera pas assez. 2. Je l’ignore, prétextant que j’ai trop grandis pour ces choses-là. Ça fait suffisamment longtemps qu’on ne s’est pas vu pour que ça soit crédible. Et puis, ce n’est pas comme s’il venait pour me voir… mais il sera vexé. Et je perdrais, peut-être pour toujours, mon titre d’enfant normal à mi-temps et ma petite bulle d’air. Que faire ? Si je lui saute dans les bras, l’Italienne pourra penser qu’il est une sorte de faiblesse, et qu’elle doit s’en prendre à lui. Comme c’est compliqué d’entretenir de bonnes relations avec le plus grand nombre ! Finalement, je m’approche, plus froidement que d’habitude, cherchant une étreinte un peu moins enthousiaste. Il sera sans doute persuadé que quelque chose ne va pas. Mais ce n’est pas grave. J’en profiterais pour dire que Lana me menace, ou me rappelle la mort de ma mère, ou le poids que je représente. Si Jeremiah pense qu’elle me fait du mal, il convaincra l’idiot de Maire qui devrait penser plus souvent à sa famille qu’à sa ville, mais qui oublie de le faire si on ne lui rappel pas. Me séparant d’un bon pas, je le regarde dans les yeux. Je peux deviner de la panique dans son regard mal contrôlé de pauvre travailleur. « Ça fait longtemps. Tu as quelque chose de spécial à faire ici, peut-être ? » Je sais que tu n’es pas venu pour moi. Tu as beau me dire que tu me vois comme une fille, tu n’es pas tellement plus présent que mon père biologique, depuis quelque temps. Il doit être contagieux, dans sa maladie de démission… Comme Fait Pour Elle | ||||
Comme fait pour elle
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Comme Fait Pour Elle Kate & Lana Les révélations avaient retournées Kate, mais elle continuait son travail avec le sourire. Elle ne savait pas s’il fallait en parler à Bélinda : la pauvre perdait facilement le contrôle d’elle-même. Soudain, alors que la serveuse se perdait dans ses réflexions, la porte s’ouvrit, laissant entrer un peu de chaleur dans le restaurant glacial. Et, comme si l’automne n’était pas assez chaud, le vent amena avec lui Tintallë Thalos, la plus attirante de toutes les stip teaseuse du Dolorion. Elle était d’une beauté inégalable. Devant elle, Kate ne pensait presque plus à Clementine. En fait, elle ne pensait presque plus tout court. Ses cheveux rouges battaient dans son dos, tandis qu’elle semblait flotter, s’avançant dans la petite bâtisse du paisible. Son physique appelait à la guerre, à se battre pour son amour, contrastant complètement avec l’image du restaurant. Il y avait quelque chose de magnétique avec elle. Le genre de chose que l’on trouve à Saint François. Elle se tourna vers le bar, et le cœur de Kate fit un bond dans sa poitrine : Tintallë l’avait regardé. Prisonnière de sa timidité nouvelle, Kate improvisa un léger signe de main, attendant la commande de la tombeuse. « Deux cafés et deux croissants ma belle. » Ma belle ? La tête de Kate lui tournait. Elle rêvait de servir sa cliente, sa magnifique allumeuse. « Et surtout, comme d’habite, pour moi, en plus, une petite part de votre meilleure pâtisserie du jour. » La meilleure pâtisserie du jour ? Pourquoi pas une tartelette au Citron ? Loïs avait l’air d’humeur « Lemon » aujourd’hui, comme s’il sortait d’une de ses nuits… bref. Dans les jours comme celui-ci, il préparait de délicieux brownies, qui, servis avec un peu de crème anglaise, rendraient jaloux n’importe quel pâtissier. Kate sourit alors, certaine d’avoir trouvé la pâtisserie idéale. Elle était d’humeur aguicheuse, ce matin, et voir Tintallë ne faisait que renforcer cela. Et, pour ajouter à la tension palpable, la belle danseuse se pencha sur le contoir, mettant en valeur sa généreuse devanture, de sorte qu’on ne puisse plus rien lui refuser. « Et dis-moi, tu aurais des infos croustillantes pour moi aujourd’hui ? » Tintallë se redresse, Kate se retourne. Vite, elle attrape deux tasses, lance la machine, dispose les huit biscuits sur deux assiettes, attrape à la volée un morceau de Brownie sortant de la cuisine, y déverse un peu de crème anglaise, dépose les tasses sur le plateau et se retourne. Tout avait été fait assez vite, pourtant, Tal semblait avoir eu tout le temps nécessaire pour faire ce qu’elle voulait. « J’ai pas mal de choses, tu sais… mais, avant tout, tu as une table ? » Elle sourit pour interroger Tal. L’allumeuse savait, avec le temps, que Kate préférait parler pendant que les autres mangeaient. Elle pourrait lui raconter, avec des allures de secrets, les théories rocambolesques sur Ileana Zulian, ou les dernières infos sur les fabricants d’immeubles, ou encore cette merveilleuse histoire d’adultère entre Pétunia Grey, Peter Boisé et Marc-Éric Lefèbre. | ||||
BIJOUTIER Jeremiah Je suis sensé aider Edward… je crois. Comme Fait Pour Elle Elle s’approche, comme si c’était à contrecœur. Elle n’a pas l’air d’aller bien… qu’est-ce qui lui arrive ? Quelqu’un l’embête ? C’est Nora ? C’est pour ça qu’il fait si froid ? Elle enroule ses petits bras autour de moi. Je la serre un peu. Elle a l’air… je ne sais pas… froide ? J’ai fait un truc ? C’est encore à cause d’Edward ? Je sens son visage se crisper un peu, puis elle interrompt l’étreinte, brutalement. Je la laisse faire sans opposer la moindre résistance. Elle recule d’un pas. Il n’y a plus le moindre contact physique entre nous. Il se passe un truc. J’ai forcément fait un truc. Oh putain… qu’est-ce que j’ai fait ? Comment je le répare ? Putain. Edward va me tuer. Sacha va me tuer. Charlotte va me tuer. Nora va me tuer. Toute Sainte Rosalie va me tuer. Putain. Qu’est-ce qu’il se passe ? Helena, je t’en supplie explique-toi ! Je vais exploser ! « ça fait longtemps. » Merde. Putain. Elle se sent abandonnée ? En même temps ce crétin d’Edward ! Il devrait s’occuper un peu plus d’elle ! Merde ! C’est une gosse ! Elle a besoin de son putain de père ! Et je l’ai laissé broyer du noir toute seule… pour que ça touche autant Nora, ça doit être hyper grave… « Tu as quelque chose de spécial à faire ici, peut être ? » Merde… en plus je viens même pas pour elle. Mais quel genre d’ami je suis ? Cette pauvre petite a besoin d’attention ! Qu’est-ce que je vais faire, moi, si elle tombe dans la drogue pour qu’on la remarque ? Merde ! Pourquoi je suis con ? Pourquoi tout le monde est toujours aussi occupé… pauvre petite… merde… je suis trop con… « Je suis vraiment désolé… je… » Qu’est-ce que tu fou ? Tu crois que c’est le moment de balancer une explication ? Rah ! Espèce d’idiot ! Comment tu fais, hein, maintenant ? Il y a pas moyen de retourner la situation…. Enfin si. Sacha, ou Edward, ou quelqu’un comme ça, qui a l’habitude de devoir se rattraper tout le temps, trouverait une excuse. Mais moi, qu’est-ce que je fais ? « Je suis désolé. Je serais plus présent. » Je ne suis pas sûre de la satisfaire… | ||||
Comme Fait Pour Elle
Jeremiah est entré, mais il n’a pas l’air d’être venu nous voir. Son visage s’est crispé d’une façon étrange quand il a vu Helena, comme s’il ne s’attendait pas vraiment à la voir. Il doit donc être ici pour mademoiselle Zulian. Pourtant, il joue encore à la princesse avec Helena, au lieu de se comporter en adulte responsable. Je soupire, histoire d’attirer un peu leur attention. Je peux comprendre qu’Helena essaie de le déconcentrer. Elle a décidé de s’énerver contre cette pauvre nouvelle…. Mais lui. C’est affligeant comme il est manipulable ! « Jeremiah, tu es ici au compte d’Edward, n’est-ce pas ? » Je lui lance mon regard le plus persuasif. Il doit savoir que je n’ai pas de temps à perdre. « Et bien voilà mademoiselle Zulian, la fille à qui tu dois fournir ses clés. Demoiselle qui, contrairement à toi, n’a pas toute sa journée pour s’occuper d’Helena. » Et je n’ai pas toute la journée non plus. Alors, si tu pouvais faire ton travail et t’occuper d’elle, ça serait merveilleux. Je n’ai pas l’énergie et le temps de corriger son comportement inacceptable tout de suite. Et puis, tu es bien accompagné. Tintallë a un don pour calmer les gens, me semble-t-il. | ||||
Comme fait pour elle 297 mots Helena m’a répondu mais du tout poliment. Elle a commencé par émettre un gloussement plus que déplacer puis, m’a rétorqué qu’elles sont assez grandes et peuvent bien se présenter elle-même. Mais j’ai bien vue que ma remarque l’a blessée. C’est à peu près à ce moment que la porte c’est ouverte et Helena n’as pas été aussi poli que moi. | ||||
Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7272 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Comme fait pour elle Il fait extrêmement froid à l’intérieur du restaurant aujourd’hui. Et mademoiselle THALOS reste là, dos au bar, accoudée à celui-ci, observant ce qui se trame à la table royale. Elle y devine un câlin hésitant, la princesse commencerait-elle à repousser le coter tactile de Jeremiah ? L’étreinte s’arrête beaucoup plus vite qu’elle n’a commencé. Jeremiah doit encore se torturer de ce manque d’affection à son égard. Tal voit leurs lèvres bouger mais ne distingue pas ce qui se dit. Le garçon se confond certainement en excuse ce qui ne manque pas de faire pouffer la danseuse quand elle y songe. C’est maintenant la gérante qui parle, ses traits sont crispés. Depuis le bar, le visage qui les observe l’imite, ce qui doit ce tramé là-bas pourrait l’inquiéter, mais elle est préoccuper par la jeune femme à la peau halé. Son visage ne lui dit rien et pourtant par Saint-Srançois elle a passé énormément de temps au Paisible. Ce doit être la jeune femme qu’ils doivent escorter à son nouveau logement. Elle est, objectivement, très belle et doit certainement attirer beaucoup d’hommes dans ces filets. Mais là, tout de suite, elle semble plus qu’agacer par sa position et a profitée de l’étreinte pour s’éloigner vers l’entrée du Paisible. Mais, elle s’est retourner, sans doute, à la résonnance de la voix agacé de Charlotte. Soudain, la voix chantante de Kate brise sa concentration : « J’ai pas mal de choses, tu sais… mais, avant tout, tu as une table ? » Pendant que la blonde parlait, la rousse c’est retourner pour lui faire face et lui adresser un tendre sourire. Elle maintient maintenant la plus grande partie de sa concentration pour s’efforçant au maximum de ne pas perturber son amie avec son pouvoir et lui réponds : « Et bien il se trouve que tu es là et que la vue sur la table royale est idéale d’ici donc je pense que le bar est la meilleur option, tu ne trouves pas ? » Le regard de notre miss nuit blanche sans manger se perds son le plateau que tiens la jeune femme en face d’elle. Elle attend maintenant impatiemment de pouvoir le déguster, sans perdre sa concentration sur la petite blonde. 370 mots pour Lana | |||
Comme Fait Pour Elle Kate & Lana Kate était toujours perdue dans la contemplation de sa cliente, le plateau en équilibre sur ses mains. Elle sentait qu’elle pourrait le faire tomber à tout instant, parcourue de frissons incontrôlables. Sa bouche lui paraissait de plus en plus sèche, si bien qu’elle ne savait pas si elle pourrait continuer à parler. Pourtant, comme soudainement, tout cela s’atténua. Ça n’avait pas disparu, puisqu’elle désirait toujours dévorer les lèvres et le corps de la belle jeune femme. Mais, au moins, c’était devenu largement contrôlable. Kate se sentait de garder son calme. Elle sentait que son cerveau s’irriguait, que ses pensées s’organisaient à nouveau. « Et bien il se trouve que tu es là et que la vue sur la table royale est idéale d’ici donc je pense que le bar est la meilleure option, tu ne trouves pas ? » Kate sourit tendrement. Tintallë avait sans doute d’autres raisons de vouloir rester au bar, mais elle s’en fichait. Enfin, elle vit le regard de son ami sur le plateau, semblable au regard de l’assistance sur son amie. Se retenant de rire devant cette analogie, Kate déposa le plateau en face de Tintallë, puis s’adossa au vaisselier derrière elle, attrapant son verre d’eau glacée qu’elle avait toujours au travail. Son regard ne lâchait pas Tintallë. Elle aurait pu bien plus aisément, désormais. Mais… la petite Clémentine ne serait pas si jalouse, dans ce cas. « Evidemment, ma chérie. » Elle attrapa un muffin, avec l’expression triomphante des enfants feignant la rébellion. Albert lui asséna un affreux regard meurtrier, mais Kate n’avait pas peur du tout. Elle savait deux choses très importantes : le meurtre était une activité tout à fait illégale et Charlotte n’avait aucun problème avec le fait que les employés se nourrissent quand ils n’avaient rien d’autre à faire. Elle sourit alors un peu plus largement. « Il y a tellement de chose à dire ! » Elle leva les yeux au ciel, de son air le plus théâtrale. Le pouvoir ne s’effaça pas d’un poil, jusqu’à ce que Kate baisse à nouveau les yeux vers son amie. « Déjà, commençons par la table royal, le plus intéressant. » Elle désigna Ileana du menton, avec nonchalance. « Ileana Zulian, la nouvelle arrivante, va habiter tout près du paisible, dans un des appart’ d’Edward. Elle a un profil assez simple : jeune adulte sociable. Elle adore déménager. Selon Loïs, c’est devenu une véritable passion ! » Elle se penche ensuite vers Tal, faisant mine de chercher quelque chose d’une main sous le bar. « Il paraît qu’elle va devenir la belle-mère d’Edward pour cacher un secret à ses parents. » Sortant une bouteille de limonade, elle se sert un verre et dépose le prix dans la caisse, avant de le siroter. Après une pause, elle s’approche à nouveau du bar, si bien qu’on devinait une partie de son reflet dans le bois vernis. « Le secret, paraît-il, serait qu’elle est attirée par les femmes, en particulier les jeunes propriétaires rousses parties pour élever leur nièce orpheline de mère. » Kate désigna Charlotte de son regard le plus mystérieux, puis bus une autre gorgée de limonade, arborant cette fois un air innocent. | ||||
Panneau d'affichage du paisible Le Paisible recrute une SERVEUSE temps plein ou partiel. Aucune qualification requise. Formation fournie par l’entreprise. Recrute uniquement des employés d’au moins dix-huit ans. Sur avis de la propriétaire. Avoir étudié à Saint François est un plus. Le Dolorion recrute un VIDEUR/AGENT DE SECURITE. Adressez-vous à Damien DELAMEYTH pour plus de précision. Charlotte DULAC pourra vous mettre en relation avec lui, si vous n’en avez pas la possibilité Le lycée lavoisier recrute pour le poste de SURVEILLANT à temps partiel. Plusieurs postes sont à pourvoir. Nécessite de l’expérience avec les enfants. Tous les surveillants doivent détenir un baccalauréat et être majeurs. Rendez-vous au secrétariat pour plus de précision. Vous vous sentez seuls ? L’amical des joueurs de carte est faite pour vous ! Renseignez-vous chez Joëlle CarteFolle pour plus d’informations ! Chate perdue. 3 Ans. Rousse aux yeux bleus. Elle s’appelle Cici et adore l’odeur de la coriandre. On attend son retour avec impatience. Merci d’appeler le 06 ** ** ** ** si vous détenez la moindre information. Nous sommes prêts à vous verser un dédommagement. Cherche femme entre 18 et 25 ans, drôle et souriante pour un voyage en Iralie. Si vous correspondez à mes critères et êtes prêtes à vous faire passer pour ma petite amie deux semaines… le voyage sera bien-entendu offert. Contactez Jean Solo. Stessie a six ans. C’est une petite fille adorable. Je cherche quelqu’un pour s’occuper d’elle le matin. Quinze heuro de l’heure. Le babysitter aura au moins dix-huit ans et de l’expérience avec les enfants. Bilinge anglais. Appellez le 06 ** ** ** ** si vous êtes intéressés. Cherche une aide aux devoirs pour CARTON Dylan. 3 soirs par semaine. 75 euro de l’heure. BAC minimum. B1 anglais et allemand. Expérience avec les ados. BAFA. Patience et pédagogie requise. Venir de Sainte Rosalie est un plus. Les AMANITES recrutent un bassiste. Envoyez votre candidature à Amanite-musique@boitemail.fictive Le centre socio-culturel cherche des bénévoles pour la soirée d’Halloween. Costumes, musiques, bonbons, horreurs. La fête accueillera un public de 6 à 18 ans. 5 euro l’entrée pour une nuit de folie. Soirée FREAK au Dolorion le 31 au soir. Costume exigé. Venez nombreux. Codage par Libella sur Graphiorum, parchemin de ftourini | ||||
Je ne sais même pas pourquoi je suis déçue… j’aurais dû m’y attendre. Enfin bon. Qu’importe, tel est le prix de la couronne, n’est-ce pas ? Après tout, on ne peut pas être trop proche d’une flamme très brillante, faute de quoi on serait brûlé. Je ne peux en vouloir à qui que ce soit. Je dois me faire à un monde où ce genre de relation est proscrit. Alors, sans doute cela vaut-il mieux… il aurait fallu me séparer de lui, un jour ou l’autre, alors autant se séparer tôt, ainsi, j’en serais remise tout aussi tôt. Pourtant, quelque chose me serre le cœur… j’ai envie de m’énerver… je crois. « Je suis vraiment désolé… » J’en suis sûre. J’ai envie de lui crier dessus. Va-t-il aussi tenter de se justifier ? Comme si son comportement pouvait trouver une excuse quelque part ! Il n’a pas tenu ses engagements. Ainsi, tout ce qu’il a été en mesure de prouver, c’est que cette amitié était vouée à l’échec. Je ne peux pas me laisser aller à la moindre forme de souffrance. Cela amènerait de la faiblesse. Je dois cesser ces jeux idiots et infantiles. « je… » Allons bon, laissons-le chercher à se justifier, après tout. Mon père est bien plus contagieux que je ne le voudrais. Cela est bien défavorable à ma position. Dans ces conditions… « Je suis désolé. » Il se répète ? A-t-il compris ? Je le scrute du regard, remplie d’une chose semblable à… de l’espoir ? Mais là, ma conscience me rappelle que, quoi qu’il dise, je dois grandir. C’est un rustre et un travailleur. Il m’a déjà laissé tomber. J’y suis attaché, et cela est mauvais. Les reines n’ont pas d’attache, sinon leur famille. Je ne peux me permettre de laisser qui que ce soit en travers de mon chemin. Je dois être capable de me prendre à tous, sans distinction. « Je serais plus présent. » Je demande à voir. Pourquoi ça fait si mal ? Je serre les dents, discrètement. Grandis, princesse. L’enfance touche à sa fin. Bientôt, tu prendras le contrôle du lycée, puis de la fac. Ensuite, ce sera Sainte Rosalie. Puis, je l’espère, de la famille D’Hombre. Si tu dois accomplir toutes ces grandes choses, tu dois cesser d’être une enfant et devenir une guerrière sans peur ni pitié. Ait foi en toi, en ton cousin, en ta mère. Tout ne peut que bien se passer, tant que tu y crois. Un soupire emplit le silence court qui s’était installé. Charlotte ? Elle ose nous interrompre ? Mais pour qui se prend-elle ? Je lui jette mon pire regard noir, qu’elle ignore superbement. « Jeremiah, tu es ici au compte d’Edward, n’est-ce pas ? » Elle lui jette son regard de « c’est moi qui commande », le même que je n’ai jamais su respecter. Elle n’a pas l’autorité des autres familles éminente, ni celle des familles particulières. Les DuLac doivent soigner particulièrement leur particularité. Les D’Hombre, eux, sont des élus naturels. C’est donc tout à fait normal que nous soyons plus autoritaire et à même de contrôler les autres Dolorey et Donoew. Quoique nous contrôlons tout aussi bien les humains. « Et bien voilà mademoiselle Zulian, la fille à qui tu fois fournir ses clés. » La princesse du peuple, complètement dépaysée, à qui tu dois fournir ses clés. Tu sais, mon ennemie jurée. Mais vas-y, donnes-lui la priorité, on discutera des conséquences plus tard. Une reine punit en différé, pour un effet plus surprenant. Si on s’attend à la punition, elle n’a pas la même saveur délicieusement douloureuse. C’est un enseignement de mon grand-père que j’appliquerais sur mon arriviste de tante et ce traitre de Jeremiah dès que l’occasion s’en présentera. « Demoiselle qui, contrairement à toi, n’a pas toute sa journée pour s’occuper d’Helena. » Donc tu m’attaques doublement, très chère tante ? Tu n’as jamais su jouer à ça. Maman m’a dit comme tu perdais, face à chacune des femmes de la famille DuLac. C’est dire comme tu es médiocre ! Les DuLac sont des suiveurs ! Ton incapable de père a épousé une Ivanenko pour acheter leurs grâces ! Ta mère a transmis son mordant à sa première fille. Tu as, malheureusement, hérité de l’incapacité héréditaire des DuLac. Je me vengerais, Charlotte, sois-en sûre. Ta vie va doucement se muer en enfer, devant tes yeux impuissants. « Excuses-moi, chère tante, mais il me semble que je suis capable de m’occuper de moi-même. Et je l’ai déjà prouvé à maintes reprises, quand mon père pleurait ma mère et que tu apprenais à gérer un restau. » Je lui adresse un sourire mauvais. Je n’ai pas besoin de babysitter, et elle n’a pas intérêt à prétendre le contraire. Comme Fait Pour Elle | ||||
Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7272 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Comme fait pour elle Kate a enfin déposé le plateau sur le bar. C’est le signe de son approbation et Tintallë n’attend pas une minute de plus pour assoir ses fesses juste en face. Son amie la fixe avec un petit air aguicheur, tout en attrapant son verre d’eau, puis, toujours quand elle s’adosse au meuble derrière elle. « Evidemment, ma chérie. » A peine la blonde installée que la rousse arracha de ses dents un bout de croissant. C’est une libération de pouvoir mangé après cette longue nuit de travail. Une fois la première bouchée de soulagement avalé elle reporte son attention sur son amie qu’elle doit toujours s’efforcer de ne pas trop séduire. « Il y a tellement de chose à dire ! » Les yeux brun se tournèrent vers le ciel, une second, avant de se reposter vers les prunelles violettes de Tal. « Déjà, commençons par la table royal, le plus intéressant. » Notre rousse s’apprête à savourer les précieux ragots de son amie, tout en grignotant dans les différentes pâtisseries devant elle, en prenant soin de ne pas manger le croissant de Jeremiah. Elle désignât du regard une jeune femme à la peau halé en train de s’éloigner de la fameuse table : « Ileana Zulian, la nouvelle arrivante, va habiter tout près du paisible, dans un des appart’ d’Edward. Elle a un profil assez simple : jeune adulte sociable. Elle adore déménager. Selon Loïs, c’est devenu une véritable passion ! » Tintallë déglutie à l’attente d’une information importante quand Kate se penche légèrement sur le comptoir, tout en le fouillant. « Il paraît qu’elle va devenir la belle-mère d’Edward pour cacher un secret à ses parents. » Mademoiselle Thalos arrête son mouvement, à la fois surprise et désireuse de connaitre ce fameux secret qu’il faut cacher au point d’épouser un inconnu. Les taches de rousseur de Kate se reflétent dans le bois vernis quand elle se penche à nouveau pour ajouter : « Le secret, paraît-il, serait qu’elle est attirée par les femmes, en particulier les jeunes propriétaires rousses parties pour élever leur nièce orpheline de mère » Tintallë étais stupéfaite mais ne doutais pas du tout de cette toute dernière information, si il y a un truc pour lequel Kate est douée, en dehors de ses talent de serveuse c’est pour repérer une jeune femme qui a le béguin. Et, comme si de rien n’était la blonde boit une gorgée de limonade qu’elle s’était servie avant d’envoyer la bombe. Ca y est, Tal est intéressé : « Faut m’en dire plus là ! Epouser Edward ? Carrément ? C’est pas un peu extrême ? Et puis pourquoi elle a tant besoin de leurs cacher ? Ils vont la renier ? Ou pire ? La tuer ? La torturer ? » Tal reprend son souffle et commence à siroter son café en attendant que son amie réponde. 479 mots pour Lana | |||
Comme fait pour elle 416 mots Hum… Je ne voie nulle part indiqué où m’adresser pour le poste de serveuse… C’est embêtant. Bon, je n’aurais qu’à passer demander à la serveuse que j’ai draguée plus tard. Quoi d’autre… ? | ||||
Comme Fait Pour Elle Kate & Lana La belle cliente, devant Kate, paraissait tout à fait stupéfaite. Sa surprise suintait par tous ses ports, tandis qu’elle fixait la serveuse de ses yeux bleus-violets. Elle bouillonnait intérieurement. « Faut m’en dire plus là ! Epouser Edward ? Carrément ? C’est pas un peu extrême ? Et puis pourquoi elle a tant besoin de leurs cacher ? Ils vont la renier ? Ou pire ? La tuer ? La torturer ? » La belle avait tout dit d’une traite, ce qui eut pour effet de faire largement sourire la serveuse, qui sirotait sa limonade. Elle regardait Tintallë avec son regard le plus intense, le plus mystérieux. En réalité, elle était en profonde réflexion : l’allumeuse avait posé beaucoup de questions d’un coup, et elle ne savait pas auxquelles elle devait donner la priorité. D’un côté, le mariage avec Edward n’était rien d’autre qu’une rumeur. Elle aurait sans doute dû la démentir un peu, ou la nuancer. Mais cette rumeur était si… réaliste… et elle n’avait que trop peu d’informations pour répondre honnêtement, pour tout dire. Elle ne pouvait que supposer, malheureusement. Grimaçant mentalement, elle se décida à dire quelque chose. « Et bien, rien n’est sûre, mais… » Elle prépara en avance le petit déjeuner d’Ariane Dubuis, qui n’allait pas tarder à arriver, comme tous les matins. Remplissant une tasse de chocolat chaud, elle continua : « Loïs pense que, vu l’influence de la famille, ils ne pourraient pas se le permettre… tu sais… » Elle laisse s’écouler de la crème de noisette dans la boisson chaude. La crème coule lourdement pour se fondre dans le liquide marron. Ce dernier s’éclaircit progressivement, tandis que Kate continue : « C’est une famille comme les D’Hombre. Ils sont puissants et pas très sympa… » Elle recouvre le chocolat d’une généreuse couche de crème chantilly, et saupoudre de copeau de chocolat, d’éclats de noisettes et d’un peu de cannelle. « Je pense qu’ils pourraient la séquestrer… » Elle ajoute les quatre biscuits sur le plateau, et sert une généreuse part de tarte aux pommes, qu’elle recouvre d’une boule de glace à la vanille, pour la napper d’un filet de chocolat. « Et… dans ce genre d’environnement… rien n’est assez extrême… » La porte s’ouvre et Kate dépose le plateau à la place habituelle d’Ariane, qui lui sourit. La serveuse se penche alors vers Tal, s’assurant qu’elles soient les deux seules à entendre. « Et… tu ne le dis à personne mais… » Elle s’assure que personne ne les écoute et s’approche encore. « Il paraît qu’Edward serait gay… » Elle se recule pour finir son muffin et sa limonade. « Alors, mademoiselle Dubuis, bien dormis ? » La jeune femme était rayonnante, même si elle venait de se lever, et sourit à Kate. « Eh bien, avec la certitude d’avoir ce petit déjeuner tous les matins, je ne peux que bien dormir. » La serveuse sourit à sa cliente, particulièrement satisfaite de ses petits rituels quotidiens. | ||||
Comme Fait Pour Elle
Quoique, la présence de Tal ne semble pas du tout calmer Helena, toujours possédée par sa stupide crise d'adolescence. Elle se croit sans doute supérieure à moi, mais elle sait que j'ai raison… ce n'est qu'une gosse en pleine rébellion. « Excuses-moi, chère tante, » Donc il n'y a plus de vouvoiement poli ? Tu te trahis toute seule, ma chérie… « mais il me semble que je suis capable de m'occuper de moi-même. » Je laisse échapper un rire qu'il était impossible de retenir. Bref et peut-être un peu malpoli, il témoigne de mon désaccord. Elle serait capable de se tuer, si on la laissait seule plus de cinq secondes. « Et je l'ai déjà prouvé à maintes reprises, » Je demande à voir, Helena. Tu veux parler de la fois où tu as failli brûler l'appartement ? Ou peut-être de celle où tu as volé plus de deux milles euro à ton père ? « Quand mon père pleurait ma mère et que tu apprenais à gérer un restau. » Tu veux faire croire que tu étais abandonnée à ton triste sort ? Tu as toujours tout eu, servi sur un plateau. Entre ton argent de poche et le fait que tu n'ai jamais manqué de quoi que ce soit. Tu n'es ni mature, ni indépendante. « Tu veux parler des moments que tu passais avec des babysitter ou ceux que tu passais à tout faire de travers ? J'ai besoin d'un rappel... » Ton attaque frontale ne marche pas. Oui, il fut un temps, j'avais peur de t'abandonner. Mais aujourd'hui je sais que ce n'est pas le cas. Tu ne pourras pas jouer avec ça, Helena. | ||||
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