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[EV][LT] La soirée d'intégration improvisée | |
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Dim 10 Fév - 13:51 Rappel du premier message : Lieu précis : Salle de jeux de détente commune de Saint François. Date et heure : 5 février 2019 ; 14h10 Résumé : Pour fêter l'arrivée de Samui, Eloane et Sally, Simon est sorti acheter des snacks avec son ami Jean-Jacques. Sylvelie a accepté de leur prêter la salle, pour organiser une petite fête de bienvenue. Jean-Jacques a déposé des cartes d'invitation dans toutes les chambres de Saint François. Personnages : Jean-Jacques Jacot-Descombes, Simon Centenaire, Sylvelie Scrope, PNJ pensionnaires, joueurs. Statut : Event : seul les inscrits pourront y participer. Tours : Tours Titre du RP : La soirée d'intégration improvisée URL : ###  | ||
| Auteur | Message | ||
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 Sally Whispers L'Ami Pouvoir : [Passif] Quand on regarde Sally, on voit la personne à laquelle on tient le plus au monde. Cette personne peut être une fille ou un garçon, jeune ou vieille, vivante ou morte, peu importe. Cette personne porte les vêtements de Sally. L'illusion n'est qu'une image, au touché, Sally est toujours Sally. ça ne fonctionne pas sur les photo/vidéos. ça fonctionne sur les reflets. La voix et les expressions sont celles de Sally. Messages : 144 Points : 4025 Date d'inscription : 15/06/2018 | Sam 9 Mar - 21:04   La soirée d'intégration improvisée  Je sens que tout va bien, tant que je continue de suivre ses préceptes. Même si j'ai mal, même si je pleure, même si j'ai envie de crier. Je dois contenir tout ça à l'intérieur... je ne dois pas les encourager à venir vers moi... je ne dois pas les attirer dans un piège qui leur fera du mal... « Bon, il faut croire que je ne suis pas très doué pour faire passer les messages, » Comment ? Aurais-je mal compris quelque chose ? Mon regard sur ton corps, je te dévisage. C'est alors que je me demande si ce n'était pas qu'un phantasme... peux-tu seulement être un ange qu'il aurait envoyé pour moi ? Peux-tu être autre chose qu'une simple victime ? Suis-je juste idiote ? Quelque chose se serre en moi, comme une vague de culpabilité... depuis que je suis arrivée, j'associe tous ces gens à toi sans prendre garde... mais... n'est-ce pas t'insulter que de considérer ces victimes comme tes alliés ? Je suis monstrueuse... et je te trahis en faillant à reconnaître les personnes banales de celles qui ont un réel intérêt... je suis tellement désolée... « alors bon. » Je sais, c'est idiot. Je sais, je suis idiote. Je sais ! Arrête de me regarder ce cette façon ! J'ai vu en toi ce que tu n'étais visiblement pas ! Et maintenant tu te méprends... tu penses que quelque chose se passe et je m'agrippe à ton âme... mais... mais je ne suis personne ! L'image que tu vois n'est qu'un leurre ! Je ne suis qu'une chimère éphémère qui errera sans dessein, rependant mort et douleur. « Je ne sais pas qui t'as dit ça mais pour moi tu es plus une source d'espoir que de douleur. » C'est simplement que tu ignores que ton espoir est le manteau de ta douleur... tu espères... je te fais croire que tout cela est réel, que je suis là... mais je ne te comprends pas... je ne te comprends vraiment pas... je ne sais pas qui tu es... je ne sais pas qui je suis... tout cela, cette chose que tu crois sentir entre nous, tout ça est complètement faux, c'est un pauvre mensonge. Et, quand tu le comprendra, tu aura mal. La colère mordillera chaque cellule qui te compose. Et enfin, comme moi, tu me verras comme je suis vraiment : un monstre ignoble qui a fini par détruire l'âme innocente du fœtus qu'il avait possédé. Je dois vraiment être diabolique... parce que je ne fais rien pour vous... même quand j'essaie de vous éloigner... tout cela est vain... simplement vain... « Est-ce que tu peux te relever, il est peut-être temps d'aller à cette soirée d'intégration, » Je bloque un instant, ou peut-être plus. Tu me regardes et tu t'es avancé. Ta main tendue vers moi, un peu trop haute sans doute, je ne sais quoi faire. Je suis donc plus grande pour toi ? Tremblante, j'hésite. Et si ce contact se faisait ? Et si tu voyais ça comme le signe que tu attends ? Et si c'était le coups de grâce pour te détruire ? « tu veux bien m'y accompagner... » Tu as l'air d'y tenir. Et je sais tellement bien que c'est mal. Je sais tellement bien que tout cela est idiot, que je vais te causer du tort mais... mais quand je te vois, comme ça, quelque chose s'anime. Je vois dans tes yeux cette peur d'être seul. J'y vois cet espoir et j'y vois mon amour. Il est là, hésitant, amoureux et majestueux, écrasé dans l'humidité de tes yeux. Je le vois et il finit de me convaincre. Je déglutis, fébrile, puis tends ma propre main pour attraper la tienne, tremblante. Sans doute ressens-tu la différence entre ce que tu vois et la réalité... sans doute suis-je trop maigre... sans doute trouveras-tu cela étrange, de sentir mes os, quand ma main se referme sur la tienne. Je m'appuie dessus et je sens tous mes muscles de contracter dans mon bras. J'ai mal. Je sens la douleur remonter mes jambes, lentement. Debout, je le regarde. Nos mains sont encore jointe, alors je dégage la mienne pour la ramener contre mon cœur. Le papier crisse sous ma robe. Je l'entends et je me souviens des mots. Je me souviens de son corps, de la mort, des agents de police et de la panique. Je ne dois pas recommencer. C'est très mal... j'ai tué ma maman... c'est très mal...  | ||
| Sam 16 Mar - 2:47 Mon cœur battait tellement fort, ce stress... Je lui tend donc la main avec l'espoir qu'elle l'attrape. Et la miracle elle l'attrape. Mais je ressent une sensation bizarre en l'attrapant. Comme si je ne lui tenais pas la main. Enfin comme si je ne tenais pas la main a ma mère. La peau était vraiment très douce comme celle d'une enfant. Et la main plus petite. Mes sens était en alerte. Encore une chose que mon cerveau n'arrive pas suivre serais-je entrain de devenir fou. Sûrement. Juste après avoir attrapée ma main elle la lacha et plaqua la sienne contre son cœur. Mais qu'est ce qui se passe ? Elle fait la tête d'une adolescente qui aurait dit je t'aime pour la première fois. Est ce que je parle vraiment a ma mère ou bien je suis devenu parano. Je ne sais plus mon cerveau, mes sens. Plus rien n'a l'air de fonctionner correctement ces derniers temps. Bon finis de se poser des questions il est temps d'y aller « Bon je te propose d'y aller » Je me dirige alors vers la porte que j'aurai déjà du pousser depuis pas mal de temps. Je rentre alors dans une pièce plutôt spacieuse. Il y avais déjà plusieurs personnes qui était la a nous attendre. Il y a quelques snacks sur la table. Je me dit qu'il est peut être temps de manger un peu. « Bonjour excusez nous pour le retard, on avais une discussion passionnante » Bon la fête n'a pas l'air d'avoir vraiment commencé. Tant mieux, d'ailleurs la déesse que j'ai vue tout a l'heure est aussi la. Bon je vais aussi pouvoir enfin avoir des réponses claires enfin je l'espère., Parceque la je suis vraiment perdu. Et je commence un peu a flipper a l'idée que mon cerveau déconne a nouveau. C'est pas super pour s’intégrer ce genre de problèmes | |||
| Lun 25 Mar - 1:12 Récapitulatif du sixième tour : Samui et Sally discute. Samui entre. Tintallë ne bouge pas... Septième tour : 14h45. Tous le monde dans la salle fixe Tintallë. Il est temps d'arriver. | |||
 Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7281 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Lun 25 Mar - 21:00 La soirée d'intégration improvisée 513 Mots La robe. Comme à son habitude, la charmante rousse progressait au ralenti, comme une héroïne de fiction, avançant, triomphante jusqu’à son fidèle ami. Depuis toutes ces années qu’ils se connaissaient, le garçon avait toujours tout fait pour être le meilleur ami possible. Le plus dure a sans doute été, et est toujours d’ailleurs, de se montrer le plus stoïque possible face aux pouvoirs de Tintallë. Mais on ne résiste pas à cette attraction magique. Comme toujours, à peine a-t-il entrevue sa flamboyante Titi que son sang commence à bouillir. Le temps que sa belle arriva à sa hauteur il avait déjà le visage rougissant, probablement bouillant d’excitation. Tal s’arrête, adressant son sourire le plus chaleureux à son ami de toujours. Et là, il babouille : « Ti…Tintallë… » Elle a toujours trouvé ce genre de réaction adorable, se manque d’assurance face à la femme de nos rêves. Il avait un sourire timide et retenu, il retenait le sourire béat des amoureux. Que c’est dur de désirer sa meilleure amie. Dure de la désirer au prix de tout. Dure de tomber amoureux d’elle, encore et encore. De tomber amoureux à chaque regard. De tomber amoureux à chaque fois qu’on pose les yeux sur sa peau, sur ses cheveux, sur ses formes. Attendrie par tant d’effort, la jeune femme laissa un doux rire se frayer un chemin. Le son la força à découvrir ses dents, jusqu’à lors cacher par des lèvres irrésistiblement appétissante. Elle aime rire du sentiment qu’elle procure à son ami, mais surtout de la force avec laquelle il le combat. Lui qu’elle a connu avant que tout ne devienne ingérable, qui l’a conduite ici. Il fait encore tout pour supporter cette emprise sans que rien ne change dans leur relation. Coupé par un « Salut Tal. » franc. Elle coupa brusquement sa moquerie pour se tourner vers le colocataire de Monsieur Jacot-Descombes. Soudain prise de nostalgie, elle se mit à repenser aux années où il la courtisait. Il ne désespérait jamais, c’était impressionnant à voir, mais complètement faux. Selon notre bon Jean-Jaques il avait des tas de fois pris la décision d’abandonner. Il n’y est donc simplement jamais parvenu. Il faut dire que la belle et bien plus que ça, elle est parfaite. Ajoutons à ça que la magie était toujours plus forte à chaque fois. Elle esquissa un sourire en se rappelant qu’à l’époque, la danseuse s’était demandé si c’était son pouvoir qui grandissait ou si le garçon tombait réellement amoureux d’elle. Elle n’a toujours pas la réponse aujourd’hui mais continue d’opter pour la seconde option. Après plusieurs minutes de réflexions qu’elle n’avait pas vu passer, elle réalise qu’il serait tant de se montrer poli : « Hey les gars ! Comment ça va ? C’est un peu mort ici ! » Elle choisit de finir sur un léger rire pour ne pas que ses deux plus grands amis ne se blessent, la fête vient juste de commencer, il ne faut pas les brusquer. Précisons biens que nous parlons de la valeur de leur amitié et non de la taille physiques des garçons. Codage par Libella sur Graphiorum | ||
Sally Whispers L'Ami Pouvoir : [Passif] Quand on regarde Sally, on voit la personne à laquelle on tient le plus au monde. Cette personne peut être une fille ou un garçon, jeune ou vieille, vivante ou morte, peu importe. Cette personne porte les vêtements de Sally. L'illusion n'est qu'une image, au touché, Sally est toujours Sally. ça ne fonctionne pas sur les photo/vidéos. ça fonctionne sur les reflets. La voix et les expressions sont celles de Sally. Messages : 144 Points : 4025 Date d'inscription : 15/06/2018 | Mar 26 Mar - 0:53 La soirée d'intégration improvisée Je ne dois pas recommencer. C’est très mal… Je t’ai fait t’évaporer. C’est très mal… Je ne dois pas recommencer. C’est très mal… Je les ai tous briser. C’est très mal… « Bon, je te propose d’y aller. » Tu veux que je m’en aille ? Le retour à la réalité me plante une dague dans le cœur. Je recule d’un pas et reprend mon souffle. La douleur. La peine. C’est ça que je suis ? Roydon pense que c’est uniquement ce que j’apporte… mais je n’ai ni visage ni cœur… reste-t-il autre chose que ce que j’apporte ? Je comprends ta décision de me voir au loin… tu préfèrerais sans doute que je ne sois pas ici, à te briser le cœur et à te fendre l’âme, ou à le refaire en inversant les actes… je ne sais quoi te dire… j’ai mal à l’entendre et à le penser. J’ai mal et je pleure. Là, tu t’éloignes vers la porte et je reste plantée, dehors, à te regarder ouvrir le passage vers la fête. Tu ne veux pas que j’y entre, puisque tu m’appelles au lointain. Je dois y aller, n’est-ce pas ? Sinon, c’est toi que je briserais, d’un grand coup de marteau sur ton cœur déjà émietté. Oui, tu as mal et je te blesse. Mais c’est idiot… Shirley me veut ici et j’hésite, comme si deux forces m’attiraient vers deux endroits. Qui dois-je écouter ? S’il était là, je saurais. Alors je suis passive parce que je ne sais pas, parce que je suis perdue et que je n’ai pas d’autre choix que de rester complètement immobile. C’est ce que tu voulais de moi ? Indécise, je ne peux choisir l’un ou l’autre, alors je perds les deux et je les paie aussi… la pire peine est tout ce que je dois toujours obtenir. « Bonjour, excusez-nous pour le retard. » Nous ? De qui parle-t-il ? Pense-t-il être deux fois lui-même ? Cela serait vraiment une chose étrange, n’est-ce pas ? Il ne devrait pas être le double de lui-même, mais simplement lui… cela me semble un peu irrationnel… pourquoi pourrait-il seulement dire cela ? « On avait une discussion passionnante. » Là, le véritable sens de ses paroles ambigües me frappe au crâne tel un coup de massue. Elle m’apparaît alors, claire et limpide : la vérité. Il me voulait à ses côtés. Jamais il ne m’a demandé de partir. Pourquoi les gens communiquent de façon si étrange et incohérente ? Pourquoi ne sont-ils pas plus claires ? Pourquoi avoir laissé libre cette face, qui me demandait de disparaître ? Est-ce là sa pensée profonde ? Ce garçon veut me voir loin mais est trop poli pour le dire ? Me pense-t-il proche du Seigneur ? Veut-il s’épargner ses offenses ? Les larmes me montent aux yeux. Comme si on pouvait me vouloir, moi, simplement… Ou le monstre l’a séduit, ou il craint notre Seigneur, mais jamais il ne pourrait m’affectionner. Je ravale ma peine et m’avance, à petit pas discret, derrière lui. La politesse me pousse à fermer la porte, les yeux encore tout embués. Je suis un nuage de peine en jupon, frappé de la triste vérité de ma solitude. Assez loin de lui pour ne pas le déranger, je rase le mur. | ||
| Mar 26 Mar - 1:05 La soirée d'intégration improvisée     JACOT-DESCOMBES Jean-Jacques Event Intégration Ce volcan était simplement la meilleure chose qui me soit arrivé dans ma vie. Je sens le regard réprobateur de Simon mais je l’ignore. Elle est là, face à moi, et plus rien d’autre ne peut exister, et sûrement pas ses sentiments envers elle. Je suis là, comme un idiot, absorbé dans la douce aura de la femme de ma vie. Jamais je ne rencontrerais femme plus impressionnante. Que valaient les sentiments futiles de Simon, à côté de ça ? Il n’avait pas son regard de braise. Il n’avait pas son attention comme je la captais. Elle était le papillon et j’étais la flamme. Elle était le piège et j’étais le rat. Rien ne pouvait nous dissocier, en ce moment particulier de connexion intense. « Salut Tal. » Comment osait-il essayer de… je ne pouvais pas rester en colère. Elle montait et redescendait d’un coup, envoyant une cascade de frisson dans mon corps. Son regard, son pouvoir, sa chaleur : tout cela me tenait à l’abri de toute colère. Elle était là et j’étais rouge de honte, de joie, d’excitation, d’amour et de timidité. Je pouvais me pavaner devant le pauvre Simon, mais devant elle, je n’étais rien. Si ses cheveux balançaient derrière elle, le monde embrasserait ses bottes. « Bonjour, excusez-nous pour le retard, on avait une discussion passionnante. » J’entends mais n’écoute pas la voix lointaine qui essaie de m’éloigner d’elle. A la place, je reste immobile, complètement perdu dans ses yeux violets. J’attends un mouvement, un signe. J’attends en chien de faillance, j’attends en amoureux éperdu. Je me perds dans ses rires et ses sourires, dans chaque étincelle qui traverse son regard étoilé. « Hey les gars ! » Les gars ? Compteraient-elles Simon et la voix avec moi ? A-t-elle omis de me mettre sur un piédestal ? J’ai commis une erreur ? J’ai fauté ? Elle m’en veut ? « Comment ça va ? » Je voudrais dire que rien ne va mieux que lorsque je l’aperçois, mais ma timidité se pose en barrage dans ma gorge, et rien ne sort de ma bouche ouverte. « C’est un peu mort ici ! » Achevé par ses mots, j’abandonne l’idée de parler. Mais son doux rire printanier atténue ma peine. Il embaume mon cœur et le berce. Je ne saurais souffrir à ses côtés… | |||
Mar 26 Mar - 1:20 La soirée d'intégration improviséeCENTENAIRE Simon  Je regarde Sylvelie, plutôt que d’attendre sa réponse. Avec un tel pouvoir, elle a dû apprendre le dédain. Je dirais même qu’à sa place, je l’aurais pris en matière principale. Je sais qu’elle est plantée devant son BFF avec ses petits airs de je t’adore mon petit ours tout mignon. Nan mes sérieux ! Une danseuse de stip-tease et… Jean-Jacques. Je soupire. Il a vraiment ses chances, et j’crois qu’c’est l’plus triste. M’enfin… regardez-moi ! ne suis-je pas parfait, simplement ? | |||
| Lun 1 Avr - 12:55 Récapitulatif du septième tour : Tintallë reprends ses esprits. Samui et Sally entrent. Septième tour : 14h50. La musique raisonne. | |||
| Mer 3 Avr - 18:18 Bon. Le retard doit être suffisant, alors Simon doit m'attendre, maintenant. Je devrais y aller. Je vais battre des cils et il va me regarder et tomber amoureux de mon air indécise. Je vais jouer celle qui ne le voit pas. Cette garce de bénévole peut le faire, alors une des meilleures pianiste de Saint François aussi. Après tout, Simon est un adepte de musique... et, si je me rapproche de Jean-Jacques, je pourrais revoir son père... ouais, une pierre deux coups. Parfait. Ça fait cinq minutes maintenant que les deux nouveaux sont entrées. Leur effet de surprise a disparu maintenant... Je m'avance avec assurance dans le couloir, l'air de ne pas savoir qu'il y a une soirée. Une main sur mon casque, j'avance en dansant. Je sais qu'il adore ça. S'il m'entends marcher, il viendra me voir. Tintallë Thalos doit pratiquer le retard poli, alors je ne devrais pas être embêté par ce... problème. Je passe devant la salle au ralentit, mais rien ne se passe. Comment ça ? Il ne me voit pas ? Il me teste ? Je vais le tuer. Je vais le tuer. Mais là, je le vois arriver dans le couloir, Annie pendue au bras. Je me fige. Monsieur Jacot-Descombes. Je ne peux plus bouger quand je le vois. C'est la toute première fois qu'il vient à Sainte Rosalie alors... ça ne doit pas être pour rien. Pourquoi Edward l'a laissé entrer, sans que je ne le sache. Bam. Mon casque atteint le sol, suivi de mon téléphone. Il sourit, sa fille à son bras aussi. Ils me regardent, de leur air amical. C'est la deuxième fois qu'Anne-Coralie vient ici. Elle va s'installer au pensionnat. Elle me regarde un moment avant de déclarer : « Papa, c'est Alice Vallélian. C'est une cousine, c'est ça ? » Il a hoché la tête. La mienne me tournait soudain. Tandis que je tombais en arrière, il me rattrapa. « Excuses-moi, Alice. » Le paysage s'estompait, lentement. J'entendais les pas d'Annie et de son père, dans le couloir. Alice Vallélian | |||
| Jeu 4 Avr - 11:35 Récapitulatif du huitième tour : Alice passe devant la salle et perds conscience. Septième tour : 14h55. La musique résonne. | |||
Mar 9 Avr - 14:47
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| Mar 9 Avr - 14:48 Récapitulatif du neuvième tour : Laura arrive. Dixième tour : 15h00. La musique résonne. | |||
Tintallë Thalos L'Ami Pouvoir : Mon pouvoir influe sur les sentiment/émotions, elle crée une attraction, comparable à de l’amour, sans en être. Mon pouvoir fait effet quand on me regarde. Il crée une envie de satisfaire mes désirs voir, de soumission, si la victime est faible. Pousse parfois à la violence physique en cas de personnalité dominante et/violente de nature. On peut y résister mais ça reste extrêmement difficile si on n’y est pas préparé et/ou habitué. Les sentiments disparaissent dès qu'on retire son regard de moi. Il ne reste que le souvenir de cet "amour" et cela peut provoquer un sentiment de rejet et/ou de culpabilité à la personne qui viens de se séparer de moi. Messages : 172 Points : 7281 Date d'inscription : 12/06/2018 Age : 27 | Lun 22 Avr - 21:51 La soirée d'intégration improvisée 275 Mots La robe. Tintallë se prend un vent monumental de la part de son meilleur ami. Sa présence l‘avait fait oublier son pouvoir. Très vite, elle tente de se concentrer pour annihiler son effet. Simon, qui avait décider d’ignorer la belle, failli à demi à sa parole puisqu’il lui répond :« C’est pas mort, c’est en train de naître. » Tal ne pouvait qu’admirer la répartie du jeune homme. Elle le regardait mais lui semblait passioné par ce qui se passait derrière son dos. Gracieusement et, dans un ample mouvement de ses long cheveux, elle se retourna vers la source de tant d’attention. C’est un garçon, complètement dépareillé. Il avait dû se lever du pied gauche. Mais Tal ne comprenait pas vraiment ce qui passionnait tant Simon chez se garçon. C’est là qu’elle remarqua un mouvement derrière le garçon aux cheveux de jais. En regardant plus attentivement elle reconnut sans hésitation une robe rococo, propre à la jeune Sally. Quand elle la petite se déplaça, et que la danseuse pue enfin contempler le visage de son meilleur ami, tout doute sur son identité disparurent. La rousse tourna à nouveau son regard Sugilite vers Simon et ce qu’elle vit l’effraya : elle vit une colère noir dans le regard de son prétendant numéro un. Elle songeait, cherchant qui il avait pu voir. Si elle voyait Jean-Jacques, peut-être voyait-il une meilleure amie ou, du moins, un autre ami que lui. Il commancea à avancer, plein de rage. Instinctivement Tintallë se posta devant son champ de vision, en plein sur sa route. « Simon ? Qu’est ce qui t’arrive ? Tu veux gâcher tout espoir d’une bonne soirée ? » Codage par Libella sur Graphiorum | ||
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